Selon une étude du
cabinet de conseil The Hackett Group, filiale de la société Answerthink, les
clefs de succès (sic) pour limiter sensiblement le taux de départ volontaire
dans les entreprises peuvent se résumer en ces quelques points : - Impliquer la
direction générale dans l'élaboration de la politique de recrutement - Tenir compte des
compétences existantes avant d'embaucher - Accompagner les
recrues en leur offrant des formations et un suivi de carrière - Identifier des
leaders en interne et leur proposer des programmes de motivation - Sensibiliser la
direction générale à la préparation des successions Autant de conseils de
simple bon sens (je reviendrai plus en détails sur ces points lors de prochains
posts) mais qui, lorsqu'ils sont énoncés par un cabinet anglo-saxon savant, ont
sans doute plus de chances d'être entendu. Surtout quand le-dit cabinet conclut
son étude par l'argument massue selon lequel les entreprises suivant à la
lettre ces recommandations dépensent "13 % de moins que leurs pairs par
employé" et "fonctionnent avec 15 % de personnel en moins" . Mais pourquoi
hésite-t-on encore à pratiquer une bonne
vieille gestion des ressources humaines ?
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